Introduction

Le coup de fouet cervical, également connu sous le nom de traumatisme cervical accéléré, est une blessure courante qui survient souvent lors d’accidents de voiture, en particulier lors de collisions arrière. Cette condition se produit lorsque la tête est brusquement projetée en arrière puis en avant, créant une force hyperextension et hyperflexion sur la colonne cervicale.

Les symptômes du coup de fouet cervical peuvent varier en intensité et en durée. Dans de nombreux cas, les symptômes se manifestent quelques heures à quelques jours après l’accident. Les patients peuvent ressentir une raideur au niveau du cou, des maux de tête, des vertiges, des troubles de la mémoire, des troubles du sommeil et parfois des douleurs irradiant vers les épaules et le dos.

Il est essentiel de prendre en compte non seulement les symptômes physiques, mais aussi les aspects émotionnels liés à l’accident. Certains patients peuvent développer de l’anxiété ou des troubles du sommeil en raison du traumatisme subi.

En ce qui concerne la prévention, l’éducation des patients est cruciale. Conseillez-leur sur l’importance de porter correctement la ceinture de sécurité, de régler correctement les appuie-tête et de maintenir une posture appropriée tout en conduisant. Des exercices de renforcement musculaire peuvent également être recommandés pour renforcer la stabilité de la région cervicale.

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Un facteur contributif à l’accident lui-même peut résider dans l’activation de points déclencheurs au sein de la division claviculaire du muscle sternocléidomastoïdien. Ces points déclencheurs peuvent induire des vertiges lorsqu’une personne tourne rapidement la tête, comme cela peut se produire lors d’un examen des épaules tout en conduisant. Ces vertiges présentent un risque potentiel, car ils peuvent entraîner une perte de contrôle du véhicule par le conducteur (Travel, Simons, 1983). La vitesse des véhicules impliqués dans l’accident ou l’ampleur des dommages physiques subis par le véhicule peuvent ne pas être directement liées à la gravité des blessures cervicales.

Des vitesses aussi modestes que 15 miles à l’heure peuvent générer suffisamment d’énergie pour déclencher un coup du fouet cervical chez les occupants, même lorsqu’ils portent une ceinture de sécurité. Parmi les autres causes fréquentes du coup du lapin, citons les blessures par contact, les impacts à la tête dus à la chute d’objets ou à des agressions. Les tensions cervicales résultant de brusques changements de direction, tels que des montagnes russes, des accidents mineurs à vélo, des chutes et des glissades, peuvent toutes entraîner un coup du fouet cervical.

Les traumatismes liés au stress répétitif ou aux tensions chroniques impliquant le cou, tels que l’utilisation du cou pour tenir un téléphone, constituent des causes fréquentes mais non aiguës. Les mauvais traitements envers les enfants, en particulier l’agitation d’un enfant, peuvent également provoquer cette blessure, ainsi que des lésions plus graves au niveau du cerveau ou de la colonne vertébrale de l’enfant.


Le cartilage situé entre le disque intervertébral et l’os vertébral est fréquemment sujet à des fissures, constituant ainsi ce que l’on appelle une lésion du rebord. Les dommages infligés au disque peuvent exercer une pression sur les nerfs lors de leur émergence de la colonne vertébrale. Cette pression ou irritation peut se manifester par des symptômes tels que l’engourdissement de la peau, une faiblesse musculaire ou une douleur suivant le trajet du nerf.

La plupart des gens associent ces symptômes à un nerf pincé (radiculopathie cervicale). Les tissus mous entourant l’articulation de la facette peuvent également subir des blessures, car de nombreux nerfs sensibles de la colonne vertébrale sont situés au niveau de ces articulations. Les surfaces normalement lisses sur lesquelles ces articulations glissent peuvent devenir rugueuses, irritées et enflammées. Des recherches démontrent que la douleur au niveau du cou provient fréquemment de l’altération des articulations des facettes. La lombalgie est souvent observée comme une caractéristique courante après une blessure au coup du fouet cervical.

Des études indiquent qu’une activité électrique significative se produit dans les muscles de la colonne lombaire lors de l’extension du cou. Cette réaction s’intensifie en présence de douleurs cervicales, peut-être comme un moyen de stabiliser la colonne vertébrale face à une faiblesse causée par la douleur au cou. Les muscles du cou réagissent de manière particulièrement sensible aux changements soudains de tension, avec de minuscules fuseaux musculaires signalant la nécessité d’une tension accrue pour contrer des mouvements brusques. Il en résulte souvent des spasmes musculaires en tant que mécanisme d’autoprotection. Ce renforcement du tonus musculaire limite le mouvement de l’articulation enflammée, pouvant entraîner une raideur au niveau de la nuque.

Causes

Les coups de fouet cervical, également connus sous le nom de coup du lapin, sont souvent déclenchés par des mouvements brusques du cou, principalement d’avant en arrière. Ces incidents surviennent fréquemment lors d’accidents de voiture, de chutes ou de collisions sportives. Les causes des coups de fouet cervical sont profondément liées à la manière dont le cou réagit à des forces soudaines et inattendues. Lors d’un accident de voiture, par exemple, la rapidité avec laquelle le véhicule s’arrête peut provoquer un mouvement brusque du cou, mettant à rude épreuve les muscles, ligaments et tendons. De même, lors de certaines activités sportives, les impacts violents peuvent entraîner un déséquilibre et des contraintes excessives sur la région cervicale.

Un facteur majeur contribuant aux coups de fouet cervical est le manque de préparation des muscles du cou à absorber l’énergie générée par ces mouvements brusques. Lorsque le cou n’est pas suffisamment tonifié ou flexible, il devient plus vulnérable aux blessures. Une mauvaise posture quotidienne peut également jouer un rôle crucial. Les longues heures passées devant un écran d’ordinateur ou l’utilisation fréquente du téléphone portable peuvent entraîner une tension musculaire constante dans le cou, augmentant ainsi le risque de blessures lors d’un incident traumatique.

  1. Points de Déclenchement Actifs dans la Division Claviculaire du Muscle Sternocléidomastoïdien: Ces points peuvent être activés lors de mouvements brusques de la tête, tels que lors d’un examen des épaules en conduisant, provoquant des étourdissements qui peuvent être dangereux sur la route (Travel, Simons, 1983).
  2. Vitesse des Véhicules Impliqués: La vitesse des voitures lors de l’accident peut influencer la gravité des blessures au cou. Même à des vitesses relativement basses, comme 15 miles à l’heure, l’énergie générée peut être suffisante pour déclencher un coup du fouet cervical chez les occupants, même s’ils portent une ceinture de sécurité.
  3. Type d’Accident ou Dommages Physiques Subis: L’ampleur des dommages physiques subis par le véhicule ou le type d’accident peut ne pas être directement proportionnel à l’intensité des blessures au cou.
  4. Autres Causes Courantes du Coup du Lapin: Parmi les facteurs courants, on retrouve les blessures par contact, les impacts à la tête dus à des objets tombants ou des agressions. De plus, les tensions cervicales résultant de changements brusques de direction, comme des accidents mineurs à vélo, des chutes et des glissades, peuvent également entraîner un coup du fouet cervical.
  5. Traumatismes liés au Stress Répétitif ou Tensions Chroniques: L’utilisation prolongée du cou dans des activités quotidiennes, telles que tenir un téléphone, peut être une cause fréquente mais non aiguë de traumatisme cervical.
  6. Maltraitance envers les Enfants: L’agitation d’un enfant peut provoquer un coup du fouet cervical, entraînant potentiellement des blessures graves au cerveau ou à la colonne vertébrale de l’enfant.

Symptômes

Les symptômes associés au coup de fouet cervical, également connu sous le nom de traumatisme cervical accéléré, présentent une gamme de manifestations qui peuvent avoir un impact significatif sur la vie quotidienne des individus touchés. Immédiatement après l’incident, la plupart des personnes ressentent une raideur dans la région du cou, accompagnée de douleurs musculaires qui peuvent s’étendre vers les épaules. Cette sensation de tension peut évoluer vers des maux de tête persistants, souvent localisés à la base du crâne, créant un inconfort constant.

Parmi les symptômes fréquemment signalés figurent également la fatigue générale et une diminution de la capacité de concentration. Ces manifestations peuvent être attribuées à la réponse du corps au traumatisme, mais leur persistance peut indiquer des dommages plus profonds nécessitant une évaluation médicale approfondie. De plus, certains individus éprouvent des engourdissements ou des picotements dans les bras, les épaules ou même le visage, signe de perturbations neurologiques pouvant résulter du coup de fouet cervical.

Il est crucial de reconnaître que ces symptômes peuvent ne pas se manifester immédiatement après l’accident. Dans de nombreux cas, ils peuvent apparaître avec un certain délai, parfois plusieurs heures voire quelques jours après l’incident initial. Cela souligne l’importance d’une surveillance continue de la santé, même en l’absence de symptômes immédiats.

Les aspects psychologiques ne doivent pas être négligés, car les personnes ayant subi un coup de fouet cervical peuvent développer des réponses émotionnelles telles que l’anxiété et la dépression. La douleur persistante et la perturbation du bien-être physique peuvent avoir des répercussions sur la santé mentale, soulignant la nécessité d’une approche holistique de la récupération. Les professionnels de la santé, en particulier les ostéopathes spécialisés dans la structure et la fonction corporelles, jouent un rôle crucial dans l’évaluation et le traitement des symptômes du coup de fouet cervical.

  1. Douleur au Cou : La douleur dans la région cervicale est l’un des symptômes les plus fréquents.
  2. Raideur Cervicale : Une sensation de raideur ou de limitation de mouvement dans le cou.
  3. Maux de Tête : Des maux de tête, souvent centrés à la base du crâne, peuvent être associés à des problèmes cervicaux.
  4. Engourdissements ou Picotements : Sensations d’engourdissement ou de picotements dans le cou, les épaules, les bras ou les mains.
  5. Faiblesse Musculaire : Une faiblesse musculaire, en particulier dans les bras.
  6. Sensibilité au Toucher : Certains individus peuvent ressentir une sensibilité accrue au toucher dans la région cervicale.
  7. Étourdissements : Des étourdissements ou des vertiges peuvent se produire, surtout lors de mouvements du cou.
  8. Problèmes de Vision ou d’Audition : Dans certains cas, des problèmes visuels ou auditifs peuvent être liés à des troubles cervicaux.
  9. Bruit ou Crissement : Des bruits ou sensations de crissement dans le cou lors des mouvements.
  10. Difficulté à Déglutir : Certains troubles cervicaux peuvent entraîner une gêne ou une difficulté à avaler.

Il est essentiel de noter que ces symptômes peuvent être le résultat de diverses conditions, allant des tensions musculaires bénignes aux problèmes plus graves, tels que des hernies discales ou des lésions nerveuses.

Facteurs à risque


Les facteurs à risque associés aux coups de fouet cervical, ou coup du lapin, sont divers et peuvent influencer la probabilité de développer cette blessure traumatique. Les accidents de voiture représentent l’une des principales situations à risque, en particulier les collisions arrière où la voiture est soudainement arrêtée, provoquant un mouvement brusque du cou. Les accidents sportifs, tels que les collisions lors de jeux de contact, augmentent également le risque de coups de fouet cervical. Une mauvaise posture au quotidien, que ce soit au travail devant un ordinateur ou en utilisant un téléphone portable pendant de longues périodes, peut contribuer à la tension musculaire du cou, rendant la région plus vulnérable aux blessures lors d’un incident.

La vitesse du véhicule au moment de l’accident est un facteur important, car des collisions à faible vitesse peuvent également causer des coups de fouet cervical. De plus, le positionnement incorrect du siège de voiture, le manque de soutien de la tête et du cou, ainsi que la négligence des dispositifs de sécurité tels que les appuie-tête, peuvent aggraver les conséquences d’un accident.

La condition physique générale d’une personne joue également un rôle crucial. Des muscles du cou bien entraînés et flexibles peuvent offrir une certaine protection contre les blessures lors d’un mouvement brusque. À l’inverse, une faiblesse musculaire ou une mobilité réduite peuvent accroître la susceptibilité aux blessures.

Enfin, des antécédents de blessures au cou, même anciennes, peuvent augmenter le risque de développer des symptômes persistants après un nouvel incident. Il est important de noter que les facteurs psychologiques, tels que le stress post-traumatique, peuvent également influencer la manière dont une personne réagit aux blessures et aux symptômes associés.

Comprendre ces facteurs à risque peut aider à sensibiliser à la prévention des coups de fouet cervical. La vigilance lors de la conduite, l’adoption de bonnes pratiques posturales au quotidien, le renforcement musculaire du cou et le respect des règles de sécurité, notamment en matière de conduite, sont autant de mesures qui peuvent contribuer à réduire le risque de cette blessure traumatique.

  1. Mauvaises Postures et Ergonomie Inadéquate : Adopter fréquemment des postures incorrectes ou travailler dans des conditions ergonomiques inappropriées peut augmenter la tension sur la colonne cervicale, favorisant ainsi le risque de blessures.
  2. Accidents de la Route : Les collisions automobiles, en particulier les accidents de type coup du lapin, représentent un risque majeur, pouvant entraîner des blessures au cou.
  3. Activités à Risque : Participer à des activités sportives ou récréatives comportant des mouvements brusques du cou, tels que le sport automobile, peut accroître le risque de blessures cervicales.
  4. Travail Physiquement Exigeant : Les emplois qui exigent des efforts physiques importants, surtout ceux impliquant des mouvements répétitifs du cou, peuvent contribuer au développement de problèmes cervicaux.
  5. Stress et Tensions Émotionnelles : Le stress chronique et les tensions émotionnelles peuvent influencer la posture et augmenter la probabilité de développer des troubles cervicaux.
  6. Conditions Préexistantes : Des conditions médicales préexistantes, telles que l’arthrite cervicale ou les anomalies structurelles, peuvent accroître la vulnérabilité aux problèmes cervicaux.
  7. Âge : Le vieillissement naturel peut entraîner une dégénérescence des disques intervertébraux et des articulations, augmentant ainsi le risque de blessures au cou.
  8. Obésité : Un poids excessif peut exercer une pression supplémentaire sur la colonne cervicale, augmentant le risque de problèmes au niveau du cou.
  9. Sédentarité : Un mode de vie sédentaire peut affaiblir les muscles du cou et favoriser la raideur cervicale.
  10. Tabagisme : Le tabagisme peut affecter la circulation sanguine dans les disques intervertébraux, contribuant potentiellement à des problèmes cervicaux.

Comprendre ces facteurs de risque permet de mettre en place des stratégies préventives, que ce soit par des modifications du mode de vie, des ajustements ergonomiques au travail, ou la pratique de méthodes visant à renforcer les muscles du cou et à favoriser une bonne posture.

Tissus impliqués dans tout coup de fouet cervical

  • Toutes les structures du cou, du haut du thorax et de la tête peuvent être blessées par un coup de fouet cervical.
    • Vertèbres cervicales et thoraciques
    • Disques intervertébraux
    • Facettes articulaires
    • Capsules articulaire
  • Scalènes antérieur, moyen et postérieur.

Les muscles de la mastication et du thorax, y compris les intercostaux, les muscles rachidiens postérieurs et le diaphragme, peuvent également être touchés.

Recommandations pour ceux qui ont eux un coup du lapin

Voici quelques recommandations générales :

  1. Évaluation Approfondie : Subissez une évaluation médicale complète, qui peut inclure des examens physiques, des antécédents médicaux détaillés et des examens d’imagerie tels que des radiographies ou des IRM.
  2. Collaboration avec des Spécialistes : Selon la nature de vos problèmes cervicaux, il peut être nécessaire de consulter des spécialistes tels que des orthopédistes, des neurologues ou des ostéopathes pour des conseils supplémentaires.
  3. Choix Éclairé : Si l’ostéopathie est envisagée, choisissez un ostéopathe qualifié. Discutez de vos symptômes, posez des questions sur les approches de traitement spécifiques et assurez-vous de comprendre les avantages et les limites du traitement.
  4. Suivi Médical Régulier : Assurez-vous de suivre les recommandations de votre professionnel de la santé et de planifier des visites de suivi pour évaluer l’efficacité du traitement.
  5. Auto-soins et Prévention : Suivez les conseils sur le mode de vie et les exercices recommandés par votre professionnel de la santé pour favoriser la guérison et prévenir de futurs problèmes cervicaux.
  6. Soyez Prudent avec l’Automédication : Évitez l’automédication sans avis médical, en particulier en ce qui concerne les médicaments ou les exercices qui pourraient aggraver la situation.

Rappelez-vous que chaque cas est unique, et les recommandations peuvent varier en fonction de la nature spécifique de vos problèmes cervicaux.

Signes radiographiques

Les signes radiographiques couramment recherchés comprennent des anomalies au niveau des vertèbres cervicales, telles que des fractures, des dislocations ou des subluxations. Des images peuvent montrer des lignes de fracture, des déplacements anormaux des vertèbres ou des signes d’instabilité. Cependant, les lésions des tissus mous, qui sont fréquentes dans le coup de fouet cervical, ne sont pas toujours clairement visibles sur les radiographies standard.

C’est pourquoi, dans de nombreux cas, des examens radiologiques avancés tels que l’imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être recommandés. L’IRM offre une visualisation plus détaillée des tissus mous, y compris les disques intervertébraux, les ligaments et les muscles. Elle peut aider à identifier des lésions qui pourraient ne pas être détectées par des radiographies conventionnelles.

Parmi les signes radiographiques spécifiques recherchés figurent également des indices d’inflammation, d’œdème ou d’hématome dans la région cervicale. Ces éléments peuvent indiquer une réponse inflammatoire à la blessure. De plus, des radiographies peuvent être utilisées pour évaluer l’alignement global de la colonne cervicale et rechercher des anomalies structurelles susceptibles de contribuer aux symptômes.

  1. Arthrose (Ostéoarthrite) : Des signes d’arthrose peuvent apparaître sous la forme de modifications dégénératives des articulations, telles que la formation d’ostéophytes (bequets osseux) ou la réduction de l’espace articulaire.
  2. Hernie Discale : Une hernie discale peut être visualisée sous la forme d’un déplacement ou d’une protrusion du disque intervertébral, mettant éventuellement sous pression les structures nerveuses adjacentes.
  3. Spondylose Cervicale : La spondylose cervicale, caractérisée par la formation de ponts osseux entre les vertèbres, peut être identifiée par des changements dans la structure osseuse.
  4. Instabilité Vertébrale : L’instabilité vertébrale, indiquant un mouvement excessif entre les vertèbres, peut être évaluée par des radiographies dynamiques, réalisées lors de différents mouvements du cou.
  5. Rétrécissement du Canal Rachidien : Un rétrécissement du canal rachidien peut être observé, ce qui peut entraîner une compression de la moelle épinière ou des racines nerveuses.
  6. Déviations de la Colonne Vertébrale : Des radiographies peuvent révéler des déviations de la colonne vertébrale, telles que la scoliose, qui peuvent influencer la santé cervicale.
  7. Fractures ou Luxations : Les radiographies permettent de détecter d’éventuelles fractures ou luxations des vertèbres, résultant souvent d’un traumatisme.
  8. Érosion Articulaire : L’érosion des surfaces articulaires peut indiquer une inflammation chronique des articulations.
  9. Tumeurs ou Masses : La présence de tumeurs ou de masses peut être détectée à l’aide de radiographies, bien que d’autres examens d’imagerie puissent être nécessaires pour une évaluation plus approfondie.

Il est important de souligner que l’interprétation des radiographies cervicales nécessite une expertise médicale.

Radiographie cervicale de coup de lapin montrant une perte de la lordose normale. Par Jmarchn — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=37351997

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