Le grand pectoral, un muscle puissant situé dans la poitrine, est essentiel pour de nombreuses activités quotidiennes, de la simple élévation des bras à des mouvements plus complexes comme la rotation de l’épaule. Cependant, malgré sa robustesse, le grand pectoral peut être sujet à des points de déclenchement douloureux, une condition qui peut engendrer des symptômes parfois confondus avec ceux de l’angine de poitrine, donnant lieu au terme « pseudoangine ».

Les points de déclenchement douloureux sont des zones hyperirritables dans les muscles, souvent ressenties comme des nodules ou des bandes tendues. Dans le cas du grand pectoral, ces points de déclenchement peuvent provoquer des douleurs locales mais aussi des douleurs référées, ce qui signifie que la douleur est ressentie à distance du site de la lésion. Lorsque ces douleurs se manifestent dans la région thoracique, elles peuvent être interprétées à tort comme des symptômes d’angine de poitrine.

L’angine de poitrine, également connue sous le nom d’angor, est généralement associée à une insuffisance d’apport sanguin au muscle cardiaque. Les symptômes courants incluent une sensation de serrement ou de pression dans la poitrine, parfois accompagnée de douleurs dans les bras, le cou, la mâchoire, ou le dos. Ces symptômes peuvent être déclenchés par un effort physique ou un stress émotionnel.

En revanche, la pseudoangine due aux points de déclenchement douloureux du grand pectoral présente des caractéristiques similaires, mais elle est attribuable à des tensions musculaires plutôt qu’à des problèmes cardiaques. Les douleurs référées peuvent irradier vers le bras, le cou ou même le dos, contribuant à la confusion avec les symptômes de l’angine de poitrine. Il est essentiel de différencier ces deux conditions pour assurer un diagnostic et un traitement appropriés.

La cause des points de déclenchement dans le grand pectoral peut être variée, allant de la surutilisation musculaire à des positions de travail inconfortables. Les personnes qui effectuent fréquemment des mouvements répétitifs des bras ou qui maintiennent des postures prolongées peuvent être plus sujettes à ces points de déclenchement. De plus, des facteurs tels que le stress, l’anxiété et la fatigue peuvent également contribuer à la formation de ces points sensibles.

Le traitement de la pseudoangine liée aux points de déclenchement du grand pectoral repose souvent sur des approches visant à relâcher les tensions musculaires. L’ostéopathie, les étirements ciblés et les massages peuvent être efficaces pour soulager la douleur et améliorer la mobilité musculaire. Dans certains cas, des médicaments anti-inflammatoires ou des relaxants musculaires peuvent être recommandés.

En conclusion, bien que le grand pectoral soit un muscle robuste essentiel pour de nombreuses activités quotidiennes, il peut être sujet à des points de déclenchement douloureux pouvant entraîner une pseudoangine. La reconnaissance de cette condition est cruciale pour éviter toute confusion avec l’angine de poitrine et assurer une gestion appropriée des symptômes. Un diagnostic précis, associé à des interventions thérapeutiques adaptées, peut contribuer à soulager la douleur et à restaurer la fonctionnalité musculaire.

La pseudoangine, souvent appelée « fausse angine », est une condition médicale qui présente des symptômes similaires à ceux de l’angine de poitrine, mais qui est en réalité causée par des facteurs musculaires plutôt que par des problèmes cardiaques. L’un des exemples les plus courants de pseudoangine se manifeste à travers les points de déclenchement douloureux dans le grand pectoral, un muscle situé dans la poitrine.

Lorsque des points de déclenchement douloureux se forment dans le grand pectoral, ils peuvent provoquer des douleurs locales et des douleurs référées, c’est-à-dire des douleurs ressenties à distance du site de la lésion. Ces douleurs peuvent souvent irradier vers le bras, le cou, ou même le dos, créant ainsi une sensation de douleur semblable à celle de l’angine de poitrine. Il est important de noter que, bien que les symptômes soient similaires, la cause sous-jacente est différente.

Les points de déclenchement douloureux résultent souvent de la surutilisation musculaire, de positions de travail inconfortables, du stress ou d’une combinaison de ces facteurs. Les personnes qui effectuent régulièrement des mouvements répétitifs des bras, telles que celles impliquées dans des activités professionnelles ou sportives spécifiques, peuvent être plus sujettes à la formation de ces points sensibles.

Les symptômes de la pseudoangine peuvent inclure une douleur thoracique, une sensation de serrement, ou une gêne dans la poitrine, similaire à ce que l’on ressent lors d’une crise d’angine de poitrine. Cependant, contrairement à l’angine de poitrine, la pseudoangine ne résulte pas d’une insuffisance d’apport sanguin au muscle cardiaque, mais plutôt de tensions musculaires dans le grand pectoral.

Le diagnostic de la pseudoangine implique souvent l’exclusion d’autres causes possibles de douleur thoracique, notamment des problèmes cardiaques. Des tests tels que l’électrocardiogramme (ECG) peuvent être réalisés pour éliminer la possibilité d’une affection cardiaque sous-jacente. Lorsque ces tests excluent des problèmes cardiaques, l’attention se tourne vers les causes musculaires potentielles.

Le traitement de la pseudoangine liée aux points de déclenchement du grand pectoral repose souvent sur des approches visant à relâcher les tensions musculaires. L’ostéopathie, qui peut inclure des étirements spécifiques, des exercices de renforcement et des massages, est fréquemment recommandée. Des médicaments anti-inflammatoires ou des relaxants musculaires peuvent également être prescrits pour soulager la douleur et favoriser la détente musculaire.

En résumé, la pseudoangine est une condition qui peut imiter les symptômes de l’angine de poitrine, mais qui est causée par des problèmes musculaires plutôt que cardiaques. Dans le cas particulier de la pseudoangine liée aux points de déclenchement du grand pectoral, la reconnaissance de cette condition est cruciale pour un traitement approprié. Un diagnostic précis, combiné à des interventions thérapeutiques adaptées, peut aider à soulager la douleur et à restaurer la fonction musculaire, améliorant ainsi la qualité de vie des personnes touchées.

  1. Approche Holistique : Dr. Travell, en collaboration avec le Dr. David Simons, a développé une approche holistique pour comprendre les troubles musculaires, en mettant particulièrement l’accent sur les points de déclenchement myofasciaux. Ils ont démontré que ces points, lorsqu’ils sont activés, peuvent causer des douleurs référées et des dysfonctionnements musculaires.
  2. Identification des Points de Déclenchement : Leur travail a impliqué une identification approfondie des points de déclenchement dans les muscles, y compris le grand pectoral. Ils ont souligné l’importance de reconnaître ces points sensibles pour traiter efficacement les troubles musculaires.

Syndrome Myofascial du Grand Pectoral : Contribution de Travell

  1. Douleurs Référées dans la Poitrine : Le grand pectoral, étant un muscle important de la poitrine, peut développer des points de déclenchement responsables de douleurs référées. Le travail de Travell a contribué à la compréhension de la façon dont ces douleurs peuvent imiter parfois les symptômes de l’angine de poitrine.
  2. Traitements Basés sur l’Évidence : Dr. Travell a préconisé des traitements basés sur l’évidence pour les points de déclenchement, notamment l’application de pression manuelle pour désactiver ces points et soulager les douleurs associées.
  3. Relation avec d’Autres Conditions : Le travail de Travell a également mis en lumière la relation entre le syndrome myofascial du grand pectoral et d’autres conditions, telles que les épaules arrondies, soulignant l’importance de traiter les déséquilibres musculaires sous-jacents.
  4. Traitement Multidisciplinaire : Elle a souligné l’importance d’une approche multidisciplinaire pour traiter les troubles myofasciaux, encourageant la collaboration entre professionnels de la santé, y compris les ostéopath, les massothérapeutes et les médecins.

L’héritage du Dr. Janet Travell réside dans sa contribution essentielle à la compréhension des troubles musculaires, notamment le syndrome myofascial du grand pectoral. Son travail a jeté les bases d’approches de traitement efficaces et continue d’influencer les pratiques cliniques dans le domaine de la médecine physique et de la réadaptation.

  1. Mouvements Répétitifs : L’exécution fréquente de mouvements répétitifs, notamment dans des activités professionnelles ou sportives spécifiques, peut entraîner des contractions musculaires excessives dans le grand pectoral, contribuant ainsi au développement de points de déclenchement douloureux.
  2. Mauvaise Posture : Maintenir une posture inadéquate, comme s’asseoir ou se tenir de manière incorrecte pendant de longues périodes, peut créer une tension excessive dans le grand pectoral. Cela peut entraîner le développement de points de déclenchement et contribuer au syndrome myofascial.
  3. Stress Émotionnel : Le stress émotionnel peut provoquer une tension musculaire généralisée dans le corps, y compris dans le grand pectoral. Les tensions chroniques dues au stress peuvent favoriser le développement de points de déclenchement et contribuer à l’irritation musculaire.
  4. Déséquilibres Musculaires : Un déséquilibre entre les muscles agonistes et antagonistes, notamment entre le grand pectoral et les muscles du dos, peut entraîner une surcharge et des tensions excessives dans le grand pectoral. Cela peut créer un environnement propice au développement du syndrome myofascial.
  5. Traumatisme Physique : Des traumatismes physiques, tels que des blessures directes ou des accidents, peuvent déclencher la formation de points de déclenchement dans le grand pectoral. Les muscles peuvent réagir en se contractant pour protéger la zone affectée, conduisant à des tensions musculaires persistantes.
  6. Activités Unilatérales : Participer fréquemment à des activités unilatérales, où un côté du corps est plus sollicité que l’autre, peut entraîner des déséquilibres musculaires. Cela peut affecter le grand pectoral, favorisant le développement de points de déclenchement.
  7. Facteurs Génétiques : Certains individus peuvent avoir une prédisposition génétique à développer des points de déclenchement et des conditions myofasciales. Cependant, la contribution génétique au syndrome myofascial n’est pas encore complètement comprise.

Symptômes

  1. Douleur Locale : La douleur dans la région du grand pectoral est l’un des symptômes prédominants. Elle peut être ressentie comme une douleur lancinante, sourde ou brûlante et est généralement concentrée dans la poitrine.
  2. Douleur Référée : Le syndrome myofascial du grand pectoral peut provoquer des douleurs référées, ce qui signifie que la douleur est ressentie dans des zones éloignées du muscle lui-même. Cela peut inclure la région des épaules, le haut du dos, et même le bras, imitant parfois les symptômes de l’angine de poitrine.
  3. Sensation de Serrement : Certains individus peuvent ressentir une sensation de serrement ou de constriction dans la poitrine, souvent associée à la contraction musculaire dans le grand pectoral.
  4. Raideur Musculaire : Une raideur musculaire, en particulier lors des mouvements du bras ou des épaules, peut être présente. Cela peut affecter la mobilité normale de l’épaule.
  5. Points de Déclenchement Douloureux : Le grand pectoral peut développer des points de déclenchement, des zones spécifiques du muscle qui sont hypersensibles au toucher. La pression sur ces points peut déclencher ou aggraver la douleur.
  6. Maux de Tête : Les tensions musculaires dans la région du grand pectoral peuvent contribuer à des maux de tête, en particulier au niveau des tempes et du front.
  7. Difficulté à Respirer : Dans certains cas, des personnes peuvent ressentir une gêne respiratoire ou une sensation de oppression thoracique, bien que cela soit moins fréquent.
  8. Fatigue Musculaire : La fatigue musculaire persistante dans la région du grand pectoral peut être présente, affectant la capacité à effectuer certaines activités physiques.

La physiopathologie du syndrome du grand pectoral donnant naissance à la pseudoangine implique des mécanismes complexes liés aux points de déclenchement douloureux et aux tensions musculaires dans le muscle en question. Comprendre ces processus peut aider à expliquer pourquoi des symptômes similaires à ceux de l’angine de poitrine peuvent survenir, malgré une origine non cardiaque.

  1. Points de déclenchement douloureux : Les points de déclenchement douloureux sont des zones spécifiques dans les muscles qui sont hyperirritables et sensibles à la pression. Dans le cas du grand pectoral, ces points peuvent se former en raison de divers facteurs tels que la surutilisation musculaire, des positions de travail inconfortables, des traumatismes musculaires ou des tensions chroniques.
  2. Irradiation des douleurs : Lorsque des points de déclenchement se forment dans le grand pectoral, la douleur ne se limite pas nécessairement à la zone affectée. Elle peut irradier vers d’autres parties du corps, y compris le bras, le cou et le dos. Cette irradiation de la douleur est ce qui crée une sensation de douleur similaire à celle de l’angine de poitrine, où la douleur peut être ressentie dans des zones éloignées du site d’origine.
  3. Références à d’autres parties du corps : Les douleurs référées dans le cas du grand pectoral peuvent parfois être confondues avec des symptômes d’angine de poitrine. Les nerfs qui innervent le grand pectoral ont des connexions avec d’autres parties du corps, contribuant ainsi à la sensation de douleur dans des régions qui sont communément associées à l’angine de poitrine.
  4. Activation des points gâchettes : L’activation des points de déclenchement dans le grand pectoral peut être déclenchée par des mouvements spécifiques, des positions prolongées ou des contraintes musculaires. Ces activations peuvent provoquer une libération locale de substances chimiques inflammatoires et des modifications dans la circulation sanguine locale, contribuant ainsi à la sensation de douleur.
  5. Interaction avec les nerfs et le système nerveux : Les points de déclenchement peuvent influencer les signaux envoyés par les nerfs au système nerveux central. Cela peut entraîner une amplification des sensations de douleur et une réponse inappropriée à des stimuli qui ne devraient normalement pas provoquer de douleur.
  6. Diagnostic différentiel : En raison de la similarité des symptômes entre la pseudoangine et l’angine de poitrine, le diagnostic différentiel est crucial. Les médecins peuvent utiliser des tests tels que l’électrocardiogramme (ECG) pour exclure des problèmes cardiaques sous-jacents et confirmer que les symptômes sont liés à des problèmes musculaires.
  7. Réponse aux traitements musculaires : La pseudoangine due au grand pectoral répond souvent favorablement aux traitements musculaires, tels que l’ostéopathie, les étirements ciblés, les massages et parfois l’utilisation de médicaments anti-inflammatoires ou de relaxants musculaires. Cette réponse positive aux interventions musculaires renforce l’implication des muscles dans la condition.

En résumé, la physiopathologie du syndrome du grand pectoral donnant naissance à la pseudoangine est liée à la formation de points de déclenchement douloureux dans le muscle, entraînant des douleurs référées et une sensation de douleur similaire à celle de l’angine de poitrine. La compréhension de ces mécanismes est essentielle pour un diagnostic précis et pour orienter les approches thérapeutiques vers la gestion des tensions musculaires.

  1. Tension musculaire excessive : Une surutilisation ou une tension excessive du muscle grand pectoral, souvent due à des activités répétitives ou à des mouvements inhabituels, peut provoquer des points de déclenchement douloureux.
  2. Posture incorrecte : Une mauvaise posture, en particulier une posture qui entraîne un déséquilibre musculaire, peut mettre une pression excessive sur le muscle pectoral, favorisant ainsi le développement de points de déclenchement douloureux.
  3. Traumatisme physique : Des blessures directes, telles que des contusions ou des accidents, peuvent endommager les fibres musculaires du grand pectoral et contribuer à la formation de points de déclenchement douloureux.
  4. Stress émotionnel : Le stress et l’anxiété peuvent provoquer une tension musculaire généralisée, y compris dans le muscle grand pectoral, ce qui peut favoriser le développement de points de déclenchement.
  5. Répétition des mouvements : Les activités professionnelles ou sportives qui impliquent des mouvements répétitifs des bras et des épaules peuvent contribuer à l’apparition de points de déclenchement dans le muscle pectoral.
  6. Mauvaise ergonomie : L’utilisation fréquente d’équipements mal ajustés ou une mauvaise ergonomie au travail ou pendant l’exercice peut entraîner une surutilisation du muscle pectoral et contribuer au syndrome myofascial.
  7. Habitudes de sommeil : Des positions de sommeil inconfortables ou des oreillers inappropriés peuvent entraîner une tension musculaire pendant la nuit, favorisant ainsi le développement de points de déclenchement.

1. Étirement du Grand Pectoral :

  • Tenez-vous près d’un coin d’un mur ou d’une porte.
  • Placez votre avant-bras contre la surface avec le coude plié à 90 degrés.
  • Faites un pas en avant pour ressentir un étirement dans le grand pectoral.
  • Maintenez la position pendant 15 à 30 secondes.
  • Répétez de l’autre côté.

2. Auto-Massage avec une Balle de Tennis :

  • Allongez-vous sur le sol avec une balle de tennis sous le grand pectoral.
  • Roulez doucement la balle sur la zone tendue, en recherchant les points de déclenchement.
  • Appliquez une pression contrôlée sur les points sensibles pendant 15 à 30 secondes.
  • Répétez selon les besoins.

3. Stretch en Coin pour les Épaules :

  • Placez-vous dans un coin avec les bras sur chaque mur, formant un angle de 90 degrés.
  • Faites un pas en avant pour étirer les muscles pectoraux et les épaules.
  • Maintenez la position pendant 15 à 30 secondes.
  • Répétez plusieurs fois.

4. Exercices de Renforcement des Muscles du Dos :

  • Effectuez des exercices tels que des rangées, des tirages dorsaux et des extensions du haut du dos pour renforcer les muscles opposés au grand pectoral.
  • Ces exercices peuvent aider à rétablir l’équilibre musculaire.

5. Étirement des Épaules avec une Sangle ou une Serviette :

  • Tenez une sangle ou une serviette derrière votre dos avec les deux mains.
  • Levez lentement les bras tout en étirant la sangle.
  • Maintenez la position pendant 15 à 30 secondes.
  • Répétez plusieurs fois.

6. Étirement avec un Cadrage de Porte :

  • Tenez-vous dans une porte avec les bras à la hauteur des épaules.
  • Placez vos avant-bras et vos mains contre le cadre de la porte.
  • Faites un léger pas en avant, en vous penchant légèrement vers l’avant pour ressentir l’étirement dans le grand pectoral.
  • Maintenez la position pendant 15 à 30 secondes.
  • Répétez plusieurs fois.

7. Étirement Allongé sur le Dos :

  • Allongez-vous sur le dos au sol sur un coussin épais.
  • Levez votre bras au-dessus de votre tête, en gardant votre paume face au plafond.
  • Laissez votre bras tomber doucement vers le sol jusqu’à ce qu’un étirement se fasse sentir dans votre poitrine.
  • Maintenez l’étirement pendant 30 secondes, puis détendez-vous.
  • Répétez l’étirement trois fois.

Correction de la posture avec épaules arrondies

Le pectoral tendu aura tendance a tire les omoplates vers l’avant, donnant une posture «tête en avant et épaules arrondies».

La correction de la posture aidera a corriger cette déformation..

1.Exécution de la procédure d’Hyper affaisement vers l’avant-surcorrection

  • Cette technique utilise la notion du renforcement positif.
  • Par conséquent, il est nécessaire qu’il connaisse l’extrême des bonnes et des mauvaises positions assises avant de recevoir des instructions concernant la bonne position assise.
  1. S’affaisser vers l’avant,
  2. Se déplacer vers une position assise verticale avec une lordose maximale,
  3. Répétez cette séquence 10 fois.
  4. Reculer de 10% de la lordose maximale. Cette position sera la posture assise optimale.
  • Relâcher les nœuds musculaires du petit pectoral.
  • Étirement du muscle en se servant de la facilitation neuromusculaire proprioceptive  (FNP)
  • Mobilisation de l’épaule
  • Vérification de la possibilité du Syndrome double écrasement
  1. PSEUDO-ANGINA SYNDROME A PROSPECTIVE DIAGNOSTIC STUDY, Walid AE Hammad,  Cardiothoracic surgery department, Faculty of Medicine, Al-Azhar University Cairo, Egypt
  2. A study to derive a clinical decision rule for triage of emergency department patients with chest pain: design and methodology. Hess EP, Wells GA, Jaffe A, Stiell IG, BMC Emerg Med. 2008 Feb 6; 8():3.
  3. Diagnosis and treatment of musculoskeletal chest pain: design of a multi-purpose trial. Stochkendahl MJ, Christensen HW, Vach W, Høilund-Carlsen PF, Haghfelt T, Hartvigsen J, BMC Musculoskelet Disord. 2008 Mar 31; 9():40.
  4. Travell, J. G., & Simons, D. G. (1999). Myofascial Pain and Dysfunction: The Trigger Point Manual, Volume 1. Lippincott Williams & Wilkins.
  5. Shah, J. P., Thaker, N., Heimur, J., Aredo, J. V., & Sikdar, S. (2015). Myofascial trigger points then and now: a historical and scientific perspective. PM&R, 7(7), 746-761.