Introduction

Imaginez une scène animée d’un gymnase où les cris de motivation se mêlent aux bruits de baskets qui rebondissent sur le sol. Au centre de toute cette effervescence, il y avait Fred, surnommé « Le Sauteur » par ses amis. Fred était un véritable passionné de sports, et rien ne le faisait vibrer autant que les sauts acrobatiques. Cependant, un jour, son genou décida de jouer un tour inattendu.

Fred, avec toute son énergie, se lançait dans une série de sauts qui défiaient la gravité. Les autres sportifs l’admiraient, un véritable spectacle vivant de ce qu’ils appelaient affectueusement le « Genou du sauteur ». Fred, tout absorbé par ses acrobaties, ne se doutait pas que son genou avait d’autres projets.

Au sommet d’un saut périlleux, le genou de Fred émit soudain un « crrrrac » discret, comme un feu d’artifice miniature. Il était accompagné d’une pointe de douleur, mais Fred, porté par l’adrénaline, ne prêta pas attention à ce signe subtil. C’était le début d’une aventure inattendue pour le « Genou du sauteur ».

Les jours suivants, Fred commença à ressentir une sensibilité étrange au niveau de son tendon rotulien. C’était comme si le tendon avait décidé de faire sa propre démonstration de douleur à chaque flexion du genou. Intrigué et légèrement préoccupé, Fred décida de consulter, se demandant s’il avait maltraité son « Genou du sauteur ».

Le spécialiste, un expert du monde des genoux, écouta attentivement l’histoire de Fred. Il posa un regard professionnel sur le genou, presque comme s’il scrutait un mystère non résolu. « Tendinopathie patellaire », déclara-t-il finalement, expliquant que les petits sauts excessifs avaient entraîné des lacérations du tendon rotulien.

Le « Genou du sauteur » de Fred était maintenant au centre de l’attention médicale. Le médecin, avec un soupçon d’humour, dit à Fred qu’il avait peut-être été un peu trop ambitieux dans ses acrobaties. « Les sauts modérés sont également très appréciés par les genoux », ajouta-t-il avec un clin d’œil.

Le traitement pour le « Genou du sauteur » de Fred impliquait du repos, des compresses froides et des exercices de rééducation. Fred, un peu déçu de devoir mettre en pause son spectacle acrobatique, suivit néanmoins les conseils du spécialiste. Il passa quelques semaines à chouchouter son genou capricieux.

Pendant cette période de repos, Fred commença à apprécier une nouvelle perspective sur les activités sportives. Il comprit que même les tendons ont leurs limites, et qu’il valait mieux écouter les signaux subtils que le corps envoie. C’était une leçon apprise à travers les petites lacérations du « Genou du sauteur ».

La prochaine fois que Fred se lança dans le monde des sauts, il adopta une approche plus mesurée. Son genou, reconnaissant de cette attention supplémentaire, participa avec enthousiasme à des sauts plus modérés. Ainsi, l’anecdote du « Genou du sauteur » de Fred devint une histoire d’apprentissage, mêlant humour, sportivité et une pincée de sagesse genouillère.

Causes

La tendinopathie patellaire peut être causée par une combinaison de facteurs intrinsèques et extrinsèques. Les facteurs intrinsèques comprennent des anomalies anatomiques ou biomécaniques, telles qu’un alignement incorrect du membre inférieur, une faiblesse musculaire, ou un déséquilibre entre les muscles quadriceps et les muscles ischio-jambiers. Ces déséquilibres peuvent exercer une pression excessive sur le tendon patellaire, entraînant des microtraumatismes répétés et une inflammation.

Les activités sportives qui impliquent des mouvements répétitifs de flexion et d’extension du genou, comme la course à pied, le saut ou le cyclisme, peuvent également augmenter le risque de développer une tendinopathie patellaire. Ces mouvements répétés sollicitent constamment le tendon patellaire, le soumettant à un stress excessif et favorisant l’usure et les lésions.

Par ailleurs, des facteurs extrinsèques peuvent également contribuer au développement de la tendinopathie patellaire. Une intensification trop rapide de l’entraînement, un changement soudain de la surface d’entraînement ou l’utilisation de chaussures inadéquates peuvent entraîner une augmentation soudaine de la charge exercée sur le tendon patellaire, augmentant ainsi le risque de blessure.

De plus, certains facteurs individuels tels que l’âge, le sexe et les antécédents de blessures peuvent également influencer la susceptibilité à la tendinopathie patellaire. Par exemple, les adolescents en pleine croissance sont plus susceptibles de développer cette condition en raison de l’activité accrue des zones de croissance osseuse autour de la rotule.

Enfin, des anomalies anatomiques congénitales, telles qu’une rotule mal alignée ou une malformation du tendon patellaire, peuvent également jouer un rôle dans le développement de la tendinopathie patellaire. Ces anomalies peuvent entraîner une répartition anormale des forces sur le tendon, augmentant ainsi le risque de lésions et d’inflammation.

  1. Surutilisation ou Tension Excessive : Des activités sportives répétitives, en particulier celles impliquant des mouvements de flexion et d’extension du genou, peuvent entraîner une tension excessive sur le tendon rotulien.
  2. Mauvaise Mécanique Corporelle : Des problèmes tels qu’une foulée inadéquate pendant la course, des déséquilibres musculaires ou une mauvaise technique d’entraînement peuvent contribuer à la survenue de la tendinopathie rotulienne.
  3. Faiblesse Musculaire : Un affaiblissement des muscles stabilisateurs du genou, en particulier les quadriceps, peut augmenter la pression exercée sur le tendon rotulien, favorisant ainsi le développement de la tendinopathie.
  4. Facteurs Anatomiques : Certains individus peuvent avoir une anatomie qui prédispose à une pression accrue sur le tendon rotulien, augmentant ainsi le risque de développer cette affection.
  5. Changements Soudains d’Entraînement : Une augmentation rapide de l’intensité ou de la durée de l’entraînement, notamment chez les coureurs, peut surmener le tendon rotulien.
  6. Port de Chaussures Inadéquates : Des chaussures inappropriées, notamment celles qui ne fournissent pas un soutien adéquat, peuvent contribuer à la tendinopathie rotulienne.
  7. Facteurs Génétiques : Certains individus peuvent avoir une prédisposition génétique à développer des problèmes de tendons.

Symptômes


La tendinopathie patellaire se manifeste principalement par une douleur autour ou derrière la rotule, qui peut être décrite comme sourde, lancinante ou brûlante. Cette douleur est souvent localisée dans la région antérieure du genou et peut être exacerbée par des activités telles que la montée ou la descente des escaliers, la course à pied, le saut, ou tout simplement rester assis pendant de longues périodes avec les genoux pliés.

Un symptôme courant de la tendinopathie patellaire est la douleur lors de la palpation du tendon patellaire, qui est généralement sensible et peut être gonflé ou enflé. De plus, une sensation de raideur ou de restriction de mouvement peut être ressentie au niveau du genou, en particulier après une période de repos prolongée ou au réveil le matin.

Dans les cas plus avancés de tendinopathie patellaire, la douleur peut devenir plus persistante et intense, et peut même être présente pendant les activités quotidiennes telles que la marche ou la position assise. Certains patients peuvent également ressentir une sensation de craquement ou de crépitement au niveau du genou lors de la flexion ou de l’extension.

Par ailleurs, la tendinopathie patellaire peut entraîner une diminution de la force musculaire autour du genou, en particulier des muscles quadriceps, ce qui peut affecter la stabilité et la fonction articulaire. Dans certains cas, une déviation de la rotule peut également être observée lors de la flexion du genou, ce qui peut être associé à une asymétrie des forces musculaires ou à un désalignement biomécanique.

  1. Douleur Antérieure du Genou : La douleur est généralement ressentie à la face antérieure du genou, juste en dessous de la rotule. Elle peut être décrite comme une sensation de tiraillement ou de douleur lancinante.
  2. Douleur Pendant l’Activité : La douleur tend à s’aggraver pendant les activités qui sollicitent le genou, telles que la course, la marche en descente, la descente d’escaliers ou la position assise prolongée.
  3. Rigidité ou Sensation de Raideur : Certains individus peuvent ressentir une sensation de raideur au niveau du genou, en particulier après une période d’inactivité.
  4. Gonflement Localisé : Il peut y avoir un léger gonflement autour du tendon rotulien, contribuant à la sensation de raideur.
  5. Crépitements : Certains patients signalent des bruits de crépitements ou de cliquetis lors de la flexion ou de l’extension du genou.
  6. Douleur à la Palpation : La pression sur le tendon rotulien peut provoquer une douleur au toucher.

Classification

  • Niveau 1 – Douleur seulement après l’activité, sans altération fonctionnelle
  • Niveau 2 – Douleur pendant et après l’activité, bien que le patient soit toujours en mesure de performer de façon satisfaisante dans son sport
  • Niveau 3 – Douleur prolongée durant et après l’activité, avec une difficulté croissante à fonctionner à un niveau satisfaisant
  • Niveau 4 – Déchirure complète du tendon nécessitant une réparation chirurgicale

Diagnostic

  • Examen physique
    • Les genoux des patients sont généralement sensibles à la palpation au niveau des attaches osseuses du tendon du quadriceps ou du tendon rotulien.
    • Une chaleur accrue, un léger gonflement et un crépitus des tissus mous peuvent également être palpés dans la région sensible.
    • L’examen autour de la bourse infrapatellaire (sous la rotule et derrière le tendon rotulien) révèle souvent des «poches».
    • Le mouvement du genou est habituellement normal, mais fréquemment douloureux avec une extension complète résistante et des degrés extrêmes de flexion passivent.
    • Avec une condition de longue date, l’atrophie des quadriceps, en particulier le vaste médial oblique, peut se développer.

Diagnostics différentiels

La tendinopathie patellaire peut être confondu avec d’autres blessures ou pathologies telles que:

  • Lésion du ligament croisé antérieur ou postérieur (test positif de Lachman ou test du tiroir postérieur)
  • Affections inflammatoires (troubles multisystémiques, taux sérique élevé de marqueurs inflammatoires)
  • Rupture partielle du mécanisme extenseur (faiblesse, anomalie palpable, difficulté à effectuer le test d’élévation de la jambe droite)
  • Syndrome fémoro-patellaire (douleur antérieure du genou, signes fémoro-patellaires anormaux autres que la sensibilité du pôle supérieur ou inférieur)
  • Arthrite septique du genou (fièvre, chaleur, mouvement douloureux, augmentation des marqueurs inflammatoires sériques élevés)
  • Maladie d’Osgood Schlatter
  • Ostéochondrite dessicative
  • Déchirure méniscale
  • Lésion du quadriceps

Diagnostic et traitement

Diagnostic :

  1. Examen Clinique : Le professionnel de la santé procède à un examen physique approfondi, évaluant la douleur, la mobilité articulaire, la force musculaire, et effectuant des tests spécifiques pour évaluer le tendon rotulien.
  2. Anamnèse : Les antécédents médicaux du patient, y compris les activités physiques, les traumatismes antérieurs, et la progression des symptômes, sont pris en compte.
  3. Imagerie : Des examens d’imagerie tels que les radiographies, l’échographie ou l’IRM peuvent être utilisés pour confirmer le diagnostic, évaluer la gravité de la lésion et exclure d’autres affections.

Traitement :

  1. Repos et Glace : Initialement, le repos est souvent recommandé pour permettre au tendon de récupérer. L’application de glace peut aider à réduire l’inflammation.
  2. Ostéopathie : Un programme de ostéopathie est souvent prescrit pour renforcer les muscles environnants, améliorer la flexibilité, et corriger d’éventuels déséquilibres musculaires.
  3. Orthèses : Des orthèses, telles que des semelles spéciales, peuvent être recommandées pour corriger la biomécanique du pied et soulager la tension sur le tendon rotulien.
  4. Anti-inflammatoires : Des médicaments anti-inflammatoires peuvent être prescrits pour réduire l’inflammation et soulager la douleur.
  5. Injections : Dans certains cas, des injections de corticostéroïdes peuvent être envisagées pour réduire l’inflammation locale.
  6. Changements d’Activité : Adapter les activités physiques et éviter les mouvements qui aggravent la douleur est souvent recommandé.
  7. Chirurgie : Dans les cas graves et résistants au traitement conservateur, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour réparer le tendon.

Questions Fréquemment Posées

  1. Qu’est-ce que la tendinopathie rotulienne?
    • La tendinopathie rotulienne est une affection du tendon rotulien, généralement caractérisée par une inflammation, des microtraumatismes ou une dégénérescence du tendon.
  2. Quels sont les symptômes typiques de la tendinopathie rotulienne?
    • Les symptômes incluent une douleur à la face antérieure du genou, une sensibilité au toucher du tendon, une raideur, et parfois un gonflement.
  3. Quelles activités peuvent aggraver la tendinopathie rotulienne?
    • Les activités impliquant des sauts répétés, des accroupissements fréquents, ou une augmentation soudaine de l’activité physique peuvent aggraver la tendinopathie rotulienne.
  4. Comment est diagnostiquée la tendinopathie rotulienne?
    • Le diagnostic repose sur un examen clinique, des antécédents médicaux, et des examens d’imagerie tels que des radiographies, une échographie ou une IRM.
  5. Quels sont les traitements disponibles pour la tendinopathie rotulienne?
    • Les traitements incluent le repos, la ostéopathie, l’utilisation de glace, des anti-inflammatoires, des injections, des changements d’activité, des orthèses, et dans certains cas, la chirurgie.
  6. Combien de temps faut-il pour récupérer de la tendinopathie rotulienne?
    • La récupération varie en fonction de la sévérité de la tendinopathie et de la réponse au traitement, mais cela peut prendre plusieurs semaines à plusieurs mois.
  7. Puis-je pratiquer une activité physique pendant le traitement de la tendinopathie rotulienne?
    • Cela dépend de la gravité des symptômes. Certaines activités peuvent être adaptées, mais il est essentiel de suivre les conseils du professionnel de la santé.
  8. La tendinopathie rotulienne nécessite-t-elle une intervention chirurgicale?
    • La chirurgie est rarement nécessaire, sauf en cas de lésions graves ou de non-réponse aux traitements conservateurs.
  9. Peut-on prévenir la tendinopathie rotulienne?
    • Des mesures préventives incluent un échauffement adéquat, un entraînement progressif, des exercices de renforcement, et la correction des facteurs de risque biomécaniques.
  10. Quand devrais-je consulter un professionnel de la santé pour la tendinopathie rotulienne?
  • Une consultation est recommandée en cas de douleur persistante, de limitations fonctionnelles ou de l’aggravation des symptômes malgré les mesures d’auto-soins.

Signes radiographique

Dans le diagnostic de la tendinopathie patellaire, les signes radiographiques peuvent être utiles pour évaluer l’état du genou et identifier d’éventuelles anomalies structurelles associées à la condition. Cependant, il est important de noter que les signes radiographiques de la tendinopathie patellaire peuvent être subtils et ne pas toujours refléter pleinement la gravité des symptômes ressentis par le patient.

Lors de l’examen radiographique du genou d’un patient présentant une tendinopathie patellaire, plusieurs caractéristiques peuvent être observées. Tout d’abord, une ostéophytose, ou formation d’éperons osseux, peut être visible au niveau de l’extrémité inférieure de la rotule ou à la jonction entre la rotule et le tendon patellaire. Ces éperons osseux peuvent résulter de l’irritation chronique du tendon patellaire et de l’os sous-jacent en réponse à des contraintes excessives.

De plus, une diminution de l’espace articulaire entre la rotule et le fémur peut être observée, ce qui peut indiquer une usure articulaire associée à la tendinopathie patellaire. Cette réduction de l’espace articulaire peut être le résultat d’une diminution du cartilage articulaire ou de la présence de dépôts calciques dans le tendon patellaire.

Dans certains cas, des signes de désalignement biomécanique du genou peuvent également être visibles sur les radiographies. Par exemple, une inclinaison excessive de la rotule latéralement, appelée syndrome fémoropatellaire, peut être observée, ce qui peut contribuer au développement de la tendinopathie patellaire en modifiant la répartition des forces sur le tendon patellaire.

Il est important de noter que bien que les signes radiographiques puissent fournir des informations précieuses dans le diagnostic de la tendinopathie patellaire, ils ne sont pas toujours spécifiques et peuvent ne pas être présents chez tous les patients atteints de cette condition. Par conséquent, d’autres modalités d’imagerie telles que l’échographie ou l’IRM peuvent être nécessaires pour évaluer plus précisément l’état du tendon patellaire et des structures environnantes.

  1. Éperon Osseux (Enthesophyte) : Des excroissances osseuses, appelées éperons osseux ou enthésophytes, peuvent parfois être visibles à l’endroit où le tendon rotulien s’attache à la rotule ou à la tubérosité tibiale antérieure.
  2. Épaississement du Tendon Rotulien : Une radiographie peut montrer un épaississement du tendon rotulien, indiquant une réponse du corps à la tension chronique exercée sur le tendon.
  3. Position Anormale de la Rotule : Des radiographies peuvent mettre en évidence une position anormale de la rotule, telle que la malalignment rotulienne, qui peut être associée à la tendinopathie.
  4. Élargissement de l’Espace Articulaire : Dans certains cas, l’espace articulaire entre la rotule et le fémur peut être élargi, suggérant une instabilité rotulienne.
La vue latérale peut démontrer de petites enthésophytes (calcifications des insertions tendineuses) ou une ossification hétérotopique au pôle supérieur ou inférieur de la rotule.(flèche)
De plus, un gros osselet d’une apophyse de tubérosité tibiale non cicatrisée peut être identifié chez des personnes ayant des antécédents de la maladie d’Osgood-Schlatter à l’adolescence.

Conclusion

En conclusion, la tendinopathie patellaire est une affection courante du genou qui peut causer une douleur persistante et limiter la participation aux activités quotidiennes et sportives. Cette condition résulte généralement d’une combinaison de facteurs intrinsèques et extrinsèques, comprenant des anomalies anatomiques, des déséquilibres musculaires, des activités sportives répétitives et des facteurs individuels tels que l’âge et les antécédents de blessures.

Les symptômes de la tendinopathie patellaire comprennent principalement une douleur autour ou derrière la rotule, une sensibilité du tendon patellaire à la palpation, une raideur articulaire et une diminution de la force musculaire. Ces symptômes peuvent être exacerbés par certaines activités et peuvent varier en intensité en fonction de la gravité de la condition.

Le diagnostic de la tendinopathie patellaire repose sur l’examen clinique, qui peut être complété par des examens d’imagerie tels que les radiographies, l’échographie ou l’IRM pour confirmer le diagnostic et évaluer l’étendue des dommages.

Le traitement de la tendinopathie patellaire vise généralement à soulager la douleur, à réduire l’inflammation et à restaurer la fonction normale du tendon. Des approches conservatrices telles que le repos relatif, la thérapie physique, les exercices de renforcement musculaire et les modalités de traitement telles que la thérapie par ondes de choc extracorporelles peuvent être efficaces dans de nombreux cas. Dans les cas plus graves ou réfractaires au traitement conservateur, une intervention chirurgicale peut être envisagée.

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